Aller au contenu

« ET C’EST MOI QUE JE VOIS » est formé d’autoportraits : d’une part par des photographies prises avec mon téléphone portable sans qu’il ne s’agisse jamais de selfies ; d’autre part, par des textes déclenchés par ces photographies et ouvrant vers d’autres perspectives.
La préface est de Marie Morel, « un des plus grands peintres vivants » d’après Pascal Quignard.