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Editions La Feuille de thé (septembre 2020)
Il y eut une Bibiche
en des temps premiers
Puis la fille de Bibiche
nommée comme sa mère
Et la fille de la fille de Bibiche
Bibiche aussi
Et Bibiche toutes ses chattes depuis
descendantes directes indirectes
toutes bibichées d’office
estampillées dans la poitrine
toujours avec elle
jusqu’à sa dernière Bibiche
« ET C’EST MOI QUE JE VOIS » est formé d’autoportraits : d’une part par des photographies prises avec mon téléphone portable sans qu’il ne s’agisse jamais de selfies ; d’autre part, par des textes déclenchés par ces photographies et ouvrant vers d’autres perspectives.
La préface est de Marie Morel, « un des plus grands peintres vivants » d’après Pascal Quignard.